Notre bon droit
Il est heureux que la loi protège à minima les droits des élus n'appartenant pas à la majorité municipale. Vous avez pu ainsi découvrir dans le dernier éclair que l'espace d'expression qui nous est réservé a augmenté. C'est une bataille longue, commencée en mai 2006 par Jean-Claude Husson, qui vient de prendre une nouvelle tournure. À coup de courriers, de mises en demeure, notre groupe a enfin pu obtenir un espace d'expression pour chaque conseiller municipal.
Et tant pis pour les esprits chagrins, qui tout en critiquant une démarche légitime appuyée sur le droit, ont préféré se battre en conseil pour le statu quo, plutôt que pour une augmentation des espaces dévolus à toutes les oppositions. Ils en sont pour leur frais et nous n'y sommes pour rien. Il y avait pourtant de quoi faire. ¾ de page, voilà ce qui est réservé à l'opposition. Il n'y en a même pas une entière sur les 28 pages que compte le journal.
La bataille n'est malheureusement pas terminée puisqu'il existe encore de nombreux domaines où les vexations, les privations de notre groupe restent la règle.
Et tant pis pour les esprits chagrins, qui tout en critiquant une démarche légitime appuyée sur le droit, ont préféré se battre en conseil pour le statu quo, plutôt que pour une augmentation des espaces dévolus à toutes les oppositions. Ils en sont pour leur frais et nous n'y sommes pour rien. Il y avait pourtant de quoi faire. ¾ de page, voilà ce qui est réservé à l'opposition. Il n'y en a même pas une entière sur les 28 pages que compte le journal.
La bataille n'est malheureusement pas terminée puisqu'il existe encore de nombreux domaines où les vexations, les privations de notre groupe restent la règle.